Auteur/autrice : Bourse en direct.ma

Le déclin observé de l’inflation semble largement attribuable à une baisse notoire de 0,5% des prix des produits alimentaires. Inversement, les produits non alimentaires ont connu une accélération de 1,5%, contrastant avec une hausse de seulement 0,9% au premier trimestre. Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) souligne ces tendances dans son rapport trimestriel, préfigurant également le troisième trimestre de 2024. À cet égard, l’inflation sous-jacente, qui exclut les prix administrés et les fluctuations instables, aurait également fléchi, décroissant de +2,5% à +2,2%. Ce phénomène résulte notamment de la diminution des coûts associés aux produits alimentaires et manufacturés, comme l’indique le HCP.…

Le Forum Nexus WEFE, qui s’est achevé en fanfare jeudi dernier à Tanger, a marqué un tournant décisif dans l’engagement des collectivités territoriales. En effet, ces dernières se sont réunies pour adopter une approche intégrée, mêlant eau, énergie, sécurité alimentaire et écosystèmes. L’objectif? Répondre de manière innovante et durable aux défis climatiques. Durant deux jours palpitants de débats fervents entre responsables politiques, experts et membres de la société civile, les collectivités ont signé la tant attendue Déclaration de Tanger. Ce document audacieux jette les bases d’une coopération mondiale, visant à rassembler des acteurs variés, renforcer des partenariats solides et favoriser…

Finances News Hebdo : Une exploration approfondie du capital-investissement Farid Benlafdil : Le concept de capital-investissement désigne un domaine fascinant où l’argent est injecté dans des entreprises qui ne sont pas encore flamboyantes sur le marché boursier. Il s’agit souvent de soutenir leur expansion ou de les restructurer profondément. En contrepartie, les investisseurs espèrent récolter des bénéfices en revendant leur participation après quelques années fructueuses, typiquement autour de quatre à six ans.   F.N.H. : Quel est le paysage du capital-investissement au Maroc ? F. B. : En matière de capital-investissement, le Maroc connaît une dynamique croissante, bien que le…

Selon les récentes estimations du Haut-Commissariat au Plan (HCP), la situation économique nationale pour le deuxième trimestre 2024 semble être marquée par un repli significatif dans le domaine agricole, avec une contraction de la valeur ajoutée agricole de 5,1%. En revanche, l’activité hors agriculture se présente sous un jour plus favorable, affichant une flambée de 3,9% par rapport à l’année précédente. Le troisième trimestre promet d’être le théâtre d’une relance dans les industries extractives, bien que les cours des minerais non métalliques continuent leur lente descente, constate le HCP avec un œil avisé. Les secteurs tertiaires, quant à eux, s’annoncent…

Le secteur halieutique du Maroc occupe une position prépondérante au sein de l’économie nationale. En effet, il contribue à hauteur de 1,1 % au PIB, tout en générant plus de 260 000 emplois directs, dont 133 845 sont liés aux activités en mer pour l’année 2023. Dans un contexte marqué par des défis environnementaux et économiques de taille, le Royaume a mis en œuvre une stratégie fondée sur la recherche et l’innovation, visant à pérenniser l’exploitation des ressources tout en renforçant la compétitivité du secteur. UneProduction en essor et des exportations florissantes Pour l’année 2024, la production halieutique nationale a…

Le monde de l’hôtellerie marocaine vit un tournant fascinant : le groupe Beachcomber Resorts & Hotels a formé un partenariat stratégique avec Yamed Investment Management, centrant leur attention sur le célèbre complexe de luxe, le Fairmont Royal Palm Marrakech. Cette collaboration innovante s’articule autour d’une opération de Sale-and-Lease Back ainsi que d’un ambitieux programme d’expansion. Les deux axes principaux de cet accord sont : Opération de Sale-and-Lease Back : Le Fairmont Royal Palm Marrakech, fort de ses 134 clés, sera transféré à un OPCI, tout en restant sous la marque Fairmont. Ainsi, le groupe Beachcomber conservera 49 % des parts,…

Le coût de la réforme de l’impôt sur le revenu (IR) a été estimé à une somme colossale de 8,6 milliards de dirhams, une annonce marquante faite jeudi par Mustapha Baitas, ministre délégué en charge des Relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement. Cette réforme se traduit par une révision significative des barèmes de l’IR. Ainsi, le seuil d’exonération des revenus annuels a été élevé de 30.000 à 40.000 dirhams, une mesure qui permettra d’exonérer intégralement les salaires mensuels ne dépassant pas 6.000 dirhams. Les tranches d’imposition, quant à elles, ont été réaménagées : une réorganisation qui promet d’élargir…

Dans un élan porteur de dynamisme et de nouveaux horizons, le Groupe Holmarcom s’engage dans une aventure stratégique audacieuse. Il vient de s’approprier une première tranche significative de 60% du capital de Scandimar, une société intégrée qui s’illustre dans l’art délicat de la transformation des produits de la mer. Mêlant innovation culinaire et savoir-faire artisanal, Scandimar s’adonne à la production de mets raffinés et savoureux issus du royaume marin. À l’issue d’une année sur cette lancée, le groupe projette d’élever sa participation à 80%, consolidant ainsi sa présence et son influence dans le marché. Tandis que M. Mehdi Smires fait…

Pour la quatrième fois consécutive, le Groupe Marjane s’empare fièrement du prestigieux label “Approuvé Saveur de l’Année Maroc”. Cette année, leurs produits emblématiques, à savoir le Miel Thym et les Noix Beldi, issus de la gamme FILIERE M, se voient attribuer la distinction « Approuvé Saveur Goût Responsable 2025 ». Une reconnaissance qui souligne non seulement leur excellence gustative, mais également leur rôle crucial dans une production durable. Ces deux produits symbolisent l’engagement indéfectible de Marjane Group en faveur d’une agriculture respectueuse de l’environnement, tout en mettant en lumière les richesses des productions locales. Leur distinction repose sur des caractéristiques…

Suite à une manœuvre stratégique majeure, Marsa Maroc s’empare désormais de 100 % du capital de la Société de Manutention d’Agadir, poussant son taux de participation initial de 51 % à une pleine maîtrise. Cette évolution audacieuse s’inscrit dans une démarche essentielle pour renforcer la compétitivité et la portée de ses services en direction des acteurs économiques. En effet, Marsa Maroc vise non seulement à établir un contrôle total sur la Société de Manutention d’Agadir, mais également à orchestrer de puissantes synergies opérationnelles avec le terminal polyvalent qu’elle supervise déjà au port d’Agadir. Un objectif manifeste : offrir une qualité…