Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie audacieuse du ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, la récente opération s’inscrit parfaitement dans la dynamique définie par la convention signée entre le ministre, le FM6I et la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG). Cette collaboration vise à engendrer des mécanismes de financement novateurs conçus spécifiquement pour soutenir les start-ups. Un communiqué conjoint le souligne avec force.
“Un total impressionnant de 47 dossiers de candidature a été soumis, dont 12 provenant d’entrepreneurs locaux, 33 d’internationaux, et 2 d consortiums mixtes. Les propositions relevées témoignent d’une variété saisissante, englobant différents stades de financement tels que Pre-Seed, Seed, Pre-Serie A, Serie A, etc., tout en s’étendant sur des secteurs diversifiés comme la Fintech, l’Agritech, l’Edtech, la Healthtech et la Climatetech,” précise la même source.
La pluralité et le volume des propositions illustre à quel point l’industrie du capital-risque au Maroc a du potentiel. Celle-ci émerge comme une source cruciale de financement pour les start-ups, tout en attestant l’adoption enthousiaste des sociétés de gestion envers l’approche innovante promue par le Fonds Mohammed VI pour l’Investissement, aux côtés du ministère de la Transition numérique et de la CDG, comme le communique le document officiel.
Cette effervescence témoigne également de l’attrait indéniable du Maroc, qui se positionne comme une plateforme dynamique pour stimuler l’innovation, servant à la fois l’économie nationale et rayonnant sur la scène internationale.
Avec cette initiative prometteuse, les sociétés de gestion se voient désormais dotées de la possibilité d’augmenter les volumes de financement disponible pour les start-ups, dans le but de nourrir le développement d’un écosystème marocain de start-ups à ambition internationale, conclut le communiqué.