Dans un souci de régulation et de transparence, une décision stratégique a récemment émergé concernant les frais d’interchange monétiques domestiques. Ces derniers représentent la part que s’approprient les banques et les établissements de paiement à partir des commissions que les commerçants doivent régler lors des transactions par carte, selon un communiqué émis par Bank Al-Maghrib (BAM).
Il est impératif de noter que ces commissions, liées au paiement par carte, ne peuvent en aucun cas être refacturées aux consommateurs par les commerçants. Ainsi, elles ne viennent pas perturber le prix des biens ou services échangés lors de ces transactions, comme le souligne avec clarté la Banque centrale.
Cette initiative réglementaire s’inscrit dans le cadre des missions de Bank Al-Maghrib, laquelle veille scrupuleusement à la sécurité des systèmes et des moyens de paiement. En facilitant une protection accrue pour la clientèle des établissements de crédit et des organismes similaires, cette décision renforce également les efforts déployés par Bank Al-Maghrib en faveur du développement du marché des paiements électroniques, comme l’affirme la même source.