Le Conseil européen, cette assemblée prestigieuse où se rassemblent les chefs d’État et de gouvernement des 27 nations de l’Union européenne, a ouvert un nouvel épisode de son engagement envers le Maroc lors d’un sommet vibrant à Bruxelles, vendredi dernier. Au cœur des discussions, la déclaration d’une « grande valeur » que l’UE accorde à son partenariat stratégique avec le Royaume a résonné comme une mélodie d’espoir pour l’avenir commun.
En effet, les relations entre le Maroc et l’UE sont une toile complexe, tissée de collaborations mutuelles dans divers domaines, un élan que le Conseil européen a réaffirmé avec ferveur. Ce n’est pas la première fois que cet appel à la solidarité est lancé ; déjà, en réaction à une décision récente de la Cour de justice de l’UE, l’Europe, au plus haut niveau, a magnifié l’importance de cet attachement.
Ursula von der Leyen, la déterminée présidente de la Commission européenne, et Josep Borrell, faisant office de Haut-représentant de l’UE, avaient, dans une déclaration conjointe, réitéré ce vœu de renforcer encore davantage les liens avec le Maroc, s’appuyant sur le principe fondamental de « pacta sunt servanda » ; une notion qui résonne particulièrement dans les couloirs de la diplomatie.
Cette semaine, la voix du chef de la diplomatie de l’UE a également participé à ce concert d’approbation, soulignant, avec une emphase palpable, l’« immense valeur » que l’Union européenne attribue à cette alliance stratégique. C’est comme si chaque note de ce discours invitait à une réflexion profonde sur l’importance de la coopération et des échanges fructueux entre le Maroc et l’Europe.
Ainsi, dans un monde en perpétuel mouvement, où les alliances sont sujettes à des défis, l’UE et le Maroc semblent, plus que jamais, déterminés à poursuivre leur chemin commun, solidifiant des relations qui transcendent les simples déclarations.
LNT avec MAP